Nos activités

  • Les activités de la FEP en 2015

    Consultez notre rapport d'activité 2015

    Capture d’écran 2016-05-18 à 15.33.17.png

    RapportActiviteFEP2015.pdf application/pdf 6.89 Mo

    Retrouvez dans cette frise chronologique les grands moments qui ont marqué l'année 2015 pour la Fondation de l'Écologie Politique.

    Voir les articles

  • Les activités de la FEP en 2014

    Consultez notre rapport d'activité 2014

    Capture d’écran 2014-12-09 à 13.10.56.png

    FEP-RapportActivite2014.pdf application/pdf 4.12 Mo

    Voir les articles

  • Groupe de travail "Relations au vivant: la question des droits des animaux"

    Présentation:

    Depuis de nombreuses années, la reconnaissance du caractère sensible des animaux fait débat. Dans des pays comme l'Autriche, l'Allemagne, la Grande-Bretagne, l'Italie, le Luxembourg, la Suède et la Suisse cela a conduit à l’adoption de dispositions particulièrement protectrices à l'égard des animaux. En France, depuis une modification du code civil en 2014, la législation reconnait désormais que « Les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilité ».

    Dans ce contexte, la FEP souhaite contribuer à la restitution de ces débats et de leurs raisons d'être que ce soit en France et à l'échelon européen. Il s'agira donc de traiter tant la question philosophique que la question sociale des relations au vivant, ainsi que ses incidences politiques, afin de devenir une force de proposition sur un sujet qui a tant d'impact sur notre quotidien (nourriture, modèle agricole, pollution, santé...).

    Pour ce faire, un groupe de travail réunissant des juristes, des philosophes, des spécialistes de l'éthique environnementale et de jeunes chercheurs est désormais actif en son sein. Son but et de décrypter les enjeux d'une extension des droits aux animaux, restituer les enjeux de ce changement dans la société de façon pédagogique, tout en s'efforçant d'apporter des contenus nouveaux et originaux.

    Membres du groupe:

    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.05.19.pngFlorence Burgat est Docteur en philosophie et directrice de recherche à l’INRA. Elle est l'auteure de trois ouvrages fondateurs sur la question animale et Co-rédactrice en chef de la Revue Semestrielle de Droit Animalier (publication de l’Université de Limoges et de l’Université de Montpellier).
    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.02.44.pngNicolas Delon est Docteur en philosophie, post-doctorant au Département d'études environnementales et à l'Animal Studies Initiative de l'Université de New York (NYU), spécialisé en éthique animale. Sa thèse s’intitule « Une théorie contextuelle du statut moral des animaux ».
    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.15.01.pngCatherine Larrère est professeur émérite à l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne. Spécialiste de philosophie morale et politique, elle s’intéresse aux questions éthiques et politiques liées à la crise environnementale et aux nouvelles technologies. Elle est présidente du Conseil de surveillance de la FEP depuis avril 2013. Son ouvrage le plus récent s'intitule Penser et agir avec la nature (avec Raphaël Larrère, la Découverte 2015).
    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.21.50.pngRaphaël Larrère est ingénieur agronome, anciennement directeur de recherche à l'INRA. Spécialiste d'éthique environnementale et il est l'auteur, avec Catherine Larrère, de l'ouvrage Penser et agir avec la nature (la Découverte 2015).

    Voir les articles

  • Groupe de travail "Démocratie et écologie"

    Présentation:

    Devant la connaissance de plus en plus précise des problèmes environnementaux au sein de nos sociétés, nous sommes souvent saisis d'un sentiment d'impuissance, du fait de la faiblesse des réponses. De même, il est très fréquent de voir s’accompagner à ce raisonnement le constat «d'incapacité» des démocraties représentatives devant les échéances écologiques. Afin de dépasser le blocage représenté par cet argument et reformuler cette problématique par un questionnement intellectuel plus fertile, la FEP mène depuis 2014 un travail de rédaction sur l’inventivité démocratique devant les problèmes écologiques, en insistant sur la dimension sociale de la mobilisation (intégration de la société civile, des acteurs économiques), et sur le nécessaire approfondissement, en termes de pratiques démocratiques, que cela requiert.

    Membres du groupe:

    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.57.28.pngClémence Guimont est doctorante en science politique à l’Université Lille 2 (CERAPS). Suite à un Master "Affaires publiques et développement soutenable" à Sciences Po Lille, elle mène une thèse sur les politiques territoriales de biodiversité. Ses travaux de recherche s'appuient sur la sociologie de l'action publique et la théorie politique environnementale.
    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.15.01.pngCatherine Larrère est professeur émérite à l’Université de Paris I-Panthéon-Sorbonne. Spécialiste de philosophie morale et politique, elle s’intéresse aux questions éthiques et politiques liées à la crise environnementale et aux nouvelles technologies. Elle est présidente du Conseil de surveillance de la FEP depuis avril 2013. Son ouvrage le plus récent s'intitule Penser et agir avec la nature (avec Raphaël Larrère, la Découverte 2015).
    • Capture d’écran 2015-05-18 à 13.08.41.pngNicolas de Longeaux est docteur en philosophie politique ; ses recherches portent sur les rapports entre philosophie politique contemporaine, éthique et problèmes écologiques. Il est également ingénieur, spécialisé dans les questions d’eau et d’environnement, et intervient tant qu’expert auprès de municipalités dans des pays en voie de développement. Il est l'auteur de Comment débattre d'écologie (Presses universitaires de France,  2015).
    • Capture d’écran 2015-05-18 à 12.58.48.pngLucile Schmid est membre du bureau exécutif d’Europe Ecologie Les Verts et vice-présidente de la Fondation de l’Ecologie Politique. Diplômée de lettres et de l’Ecole Nationale d’Administration, elle est spécialiste des questions d’intégration, de citoyenneté et de parité. Membre du comité de rédaction de la revue Esprit, elle est l’auteure de nombreux ouvrages, notamment Une femme au pays des hommes politiques (Flammarion, 2003) ; L’Egalité en danger ? (Bourin, 2006) ; Parité circus (Calmann-Lévy, 2008).

    Actualités du groupe:

    Les premiers travaux du groupe de travail seront présentés le mardi 16 juin de 9h30 à 12h, dans le cadre d'une table-ronde du colloque "Penser l'écologie politique 2".

    Table-ronde de la Fondation de l’Ecologie Politique

    Mardi 16 juin 9h30-12h

    En tant que partenaire du colloque, la FEP organisera le 16 juin une table-ronde intitulée :

    Démocratie et écologie : l’inventivité démocratique devant les problèmes écologiques 

    Intervenants : 

    Bastien FRANÇOIS, Professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur du département de science politique de la Sorbonne, contributeur à l’ouvrage Pour une 6e République écologique (Odile Jacob 2011).   

    Razmig KEUCHEYAN, Sociologue, maître de conférences à l'université Paris-Sorbonne (Paris IV), auteur de La nature est un champ de bataille. Essai d’écologie politique (La Découverte, 2014).

    Catherine LARRÈRE, Philosophe, Paris 1 Panthéon – Sorbonne, Présidente de la Fondation de l’Ecologie Politique, auteur de Penser et agir avec la nature (La Découverte, 2015).

    Luc SEMAL, Maître de conférences en Science politique au Muséum national d'histoire naturelle, Centre d'écologie et des sciences de la conservation (Cesco-UMR 7204).

    Devant la connaissance de plus en plus précise des problèmes environnementaux au sein de nos sociétés, nous sommes souvent saisis d'un sentiment d'impuissance, du fait de la faiblesse des réponses à ces problèmes. De même, il est très fréquent de voir s’accompagner à ce raisonnement le constat «d'incapacité» des démocraties représentatives devant les échéances écologiques. Afin de dépasser le blocage représenté par cet argument et reformuler cette problématique par un questionnement intellectuel plus fertile, la FEP mène depuis 2014 un travail de rédaction sur l’inventivité démocratique devant les problèmes écologiques, en insistant sur la dimension sociale de la mobilisation (intégration de la société civile, des acteurs économiques), et sur le nécessaire approfondissement, en termes de pratiques démocratiques, que cela requiert.

    La FEP restituera les travaux menés par son groupe de travail dans le contexte du Colloque PENSER L'ECOLOGIE POLITIQUE 2, par l’organisation d’une table ronde pluridisciplinaire qui abordera les sujets suivants :
    • En quoi l'urgence écologique affecte-t-elle l'exercice de la démocratie et en modifie-t-elle les pratiques?
    • Faut-il considérer que les problèmes écologiques mettent en échec la démocratie représentative et exigent que l'on associe au processus de décision des instances non élues?
    • Faut-il, à l'inverse, penser que si l'on est souvent renvoyé, en matière écologique, à des constats d'impuissance, il faut l'attribuer plutôt à un déficit de démocratie qu'aux limites de celles-ci?

    Entre les constats d'impuissance, et le foisonnement des initiatives locales, nous ferons l'hypothèse qu'il n'est de solution possible, aux problèmes environnementaux, que démocratique et que, s'il est nécessaire d'étudier les résistances à la transition écologique, il l'est tout autant d'analyser les expériences en cours et de comprendre comment elles peuvent être généralisées.

    Voir les articles