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- Publications FEP
[Entretien] Fatima Ouassak "Quel accès au pouvoir des habitants des quartiers populaires?"
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[Note] Diplomatie : une approche écoféministe
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[Entretien] Sophie Dubuisson-Quellier et Jean-Baptiste Comby "Mobilisations écologiques"
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[Entretien] Nikolaj Schultz "Les conflits géosociaux sont à l'oeuvre partout"
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[Entretien] Alexis Vrignon, "Créer un rapport de force plus direct avec les pouvoirs publics"
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[Entretien] Henri Jenn, premier candidat écologiste
50 ans après, Henri Jenn revient sur sa candidature lors des législatives du 4 mars 1973. Avec Solange Fernex, figure majeure de l'histoire de l'écologie en France, et supléante lors de ce scrutin, ils avaient rassemblé 2,70% des suffrages exprimés, marquant l'installation de l'écologie dans le paysage politique alsacien.
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[Replay] 3 mois avant la sécheresse!
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[Entretien croisé] Antoņina Ņenaševa et Ernest Urtasun "Rapprocher l’Europe en temps de crises"
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[Note] André Gorz, quel héritage pour l'écologie politique aujourd'hui?
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[Note] André Gorz, l'autonomie de l'individu au coeur de l'écologie politique
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[Entretien] Christophe Fourel "André Gorz, écologiste avant la lettre"
- Agenda
[Evènement] 3 mois avant la sécheresse, quels enjeux ?
- Publications FEP
[Entretien] Helen Thompson "La crise énergétique confronte l’Europe à ses divisions"
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[Événement] Inflation : Quelles analyses, quelles réponses ?
- Agenda
[Événement] An II des Etats Généraux du Post-urbain
Du 21 au 23 octobre - L’An II des EGPU tiendra dans les Cévennes. La frugalité post-urbaine en sera le thème transversal. Il sera abordé sous l’angle de la sensibilité écologique des urbains, sous celui des manières d’habiter et de faire politique dans les campagnes, ou encore du devenir des périphéries et des biorégions comme organisation post-urbaine.
- Agenda
[Parution] L’écologie et la narration du pire
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[Parution] La fabrique d’un droit climatique
- Publications FEP
Note d'expert - Une politique écologique ambitieuse de lutte contre le plastique.
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Note FEP/LIERRE - Engager un nouveau virage écologique et social
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[Parution] Les récits de l’effondrement, d'Alice Canabate
- Energie /Publications FEP
Note de la FEP #23 - La face cachée du numérique
- Publications FEP
[Note de lecture] Vider la nature de ses habitants : pourquoi le « colonialisme vert » continue de sévir en Afrique
- Publications FEP
Note de la FEP #22 - Aviser, inspirer et réjouir
- Publications FEP
Note de la FEP #21 - Penser l'État-providence post-croissant
- Publications FEP
Note de la FEP #20 - Le numérique, une religion...pas très écologique
Toute religion possède ses mythes... Les gourous, prophètes et autre Nostradamus du digital nous avaient promis le « zéro papier », le « zéro déplacement », le « zéro matière », le « zéro pollution »... prophéties qui ne se sont jamais réalisées.
À l’heure où le numérique, suite au confinement mis en place en réponse à la pandémie du Covid-19, est devenu un des seuls moyens pour maintenir le lien social, il n’est nul question de sombrer dans la technophobie ; mais la technobéâtitude doit également être combattue.
La religion procède par la foi, or la façon dont nous fonçons tête baissée vers le « tout connecté » sans précaution, en s’intéressant de moins en moins aux besoins réels des utilisateurs... relève plus de la croyance que de la science. Quel est donc le Dieu vénéré par la religion du numérique ?
- Démocratie /Publications FEP
Note de la FEP #19 - La poussée (inachevée) de EELV : leçons tirées du 1er tour des municipales
Les élections municipales ne sont pas les élections qui passionnent le plus les observateurs de la vie politique. Avec plus de 35 000 scrutins simultanés et des variations incalculables dans la configuration des offres électorales, les municipales sont essentiellement couvertes par les médias locaux. Et en général, elles sont réduites à des scrutins dominés par des dynamiques locales, dont on ne pourrait pas tirer beaucoup d’enseignements nationaux.
- Publications FEP
Note de la FEP #18 - Formes de vie alternatives. Une société par maillage en pays du Bord de Tarse
Dans ses Métropoles barbares et dans la première note de cette série, Guillaume Faburel nous dit comment, un peu partout, s’inventent des formes de vie sociale comme alternatives aux sociétés capitalistes (Faburel, 2018, 2019). Elles combinent luttes frontales et expérimentations citoyennes pour d’autres façons de faire société. Elles composent un paysage social effervescent, multiple, et hétérogène par la diversité de leurs collectifs, de leurs formes organisationnelles, et de leurs relations. Dans ces formes de vie alternatives, on s’efforce, on s’oblige à mettre en pratique les valeurs démocratiques, écologiques et de solidarité dans l’action collective militante comme dans les gestes simples du quotidien (Pruvost, 2015). Ce qui est raconté ici est nourri par une étude ethnographique, où la diversité de ce paysage « alternatif » et la dynamique dont elle procède sont explorées par l’expérience : s’immerger dans une forme de vie alternative et œuvrer avec les autres ; y faire l’expérience de l’activité, des rapports sociaux, des circulations de personnes, et des liens qui sont tissés. Et au travers de ces liens, et notamment par une pratique de l’itinérance (comme le woofing), interroger chaque forme de vie en tant que fenêtre ouverte sur un paysage alternatif qu’elle contribue à faire advenir.
Tirée de ce périple ethnographique, l’histoire racontée ici est celle du pays alternatif du Bord de Tarse (nom fictif d’un territoire bien réel), où se fabrique depuis les années 70, par maillage communautaire et rhizomique, une société sans État...
- Publications FEP
[Note de lecture] Le suffisant selon Gorz, une inspiration pour aujourd’hui
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Livres et revues en accès libre pendant le confinement
- Publications FEP
Note de la FEP #17 - Reprendre les lieux pour refaire monde. Une éco-politique post-urbaine
Il est frappant de constater que surgit, au sein des sociétés urbaines massifiées et individualistes à la fois, une forme de sursaut vital favorisant proximités et en-commun, et relançant les lieux de vie. Quêtes de justice, émancipation, entraide, réappropriation s’imbriquent dans l’instauration de ce que peut le lieu. Ces dynamiques peuvent conduire à des relations élargies entre soi, l’autre et la Terre-Monde, à même d’établir des ressourcements à tous les niveaux : alimentation, santé, éducation, mobilité, habitat... Dans de telles expériences politiques et existentielles, à la fois sensorielles, cognitives, motrices, émotionnelles et citoyennes, se retrouve l’enjeu paradoxal des lieux comme puissance d’agir et de vivre ensemble, peut-être d’abord pour les sociétés post-urbaines.
- Blog
L'écologie relationnelle pour raccommoder les déchirures du monde
- Publications FEP
Note de la FEP #16 - Déconstruire les imaginaires urbains
Par Mathilde GIRAULT
Alors que, proportionnellement à leurs populations, les villes concentrent consommation d’énergie, production de déchets ou émission de gaz à effet de serre (cf. Faburel, 2019, pour la FEP, note n°13), l’urbain est toujours promu comme la seule solution pour répondre aux enjeux écologiques, notamment sous la forme récente de la « ville intelligente » (cf. Jarrige, 2020, pour la FEP, note n° 14). Economies d’échelle, efficience dans la gestion des ressources ou encore transformation écologique des modes de vie, les villes nourrissent tous les espoirs d’une transition des environnements et des modes de vie.
Pourtant, les annonces faites depuis les années 2000 d’un changement paradigmatique de l’urbanisme en réponse aux enjeux environnementaux (sous les traits momentanés d’un développement urbain durable) semblent de peu d’effets pour une mutation des expertises territoriales. Les environnements urbains ne cessent de se dégrader, tandis que des disparités spatiales se dessinent entre les pratiques environnementales des habitants en milieu urbain ou rural. Dès lors, le rôle prétendument salvateur des villes dans les scénarii et les politiques interpelle. Il semblerait y avoir quelques blocages à penser d’autres perspectives écologiques pour l’action territoriale que celles pensées pour le seul urbain. Parmi ces résistances, nos imaginaires associés à la (grande) ville semblent jouer un rôle fort.
Ces imaginaires posent l’urbain comme structurant (1) de notre compréhension des enjeux, (2) de nos représentations de l’avenir et (3) de nos modes d’action. Questionner ce méta-récit de l’urbain nous permet alors de libérer les débats et actions politiques pour la prise en compte du vivant et de la biodiversité, la renaturation des territoires et le besoin social de liens renouvelés à la terre. Cela ne signifie pas pour autant que toutes les solutions proposées en dehors du méta-récit de l’urbain seraient nécessairement écologiques, mais il n’est plus à ce jour tenable de réaliser une transition écologique tant que l’urbain constitue notre seul opérateur réflexif du monde. - Démocratie /Blog
[VIDÉOS] Le nouveau municipalisme
- Publications FEP
Note de la FEP #15 - Mobilités urbaines durables : faux-semblants et alternatives
Par Hélène REIGNER
Promouvoir des alternatives pour s’orienter vers un système de transport et de déplacements écologiquement soutenable est désormais une priorité politique affichée à toutes les échelles de gouvernement (local, national, international). Cette priorité s’est traduite par un renouveau de la planification urbaine mettant l’accent sur la nécessaire interface entre urbanisme et transport. Au début des années 2000, la loi Solidarité et renouvellement urbains est ainsi venue renforcer la portée juridique des Plans de déplacements urbains (PDU) pour en faire un outil à même « d’intégrer dans le développement économique et les choix d’urbanisation, des enjeux de qualité urbaine et de protection de l’environnement, pour donner une priorité nouvelle aux autres modes de déplacement que l’automobile ». La prise en charge de cet enjeu consensuel a d’ores et déjà produit des inflexions notables des politiques publiques : réduction de la place de l’automobile dans certains espaces urbains, promotion de la marche à pied et du vélo, renouveau des objets du transport public notamment.
Pour autant, les politiques contemporaines de transport et de déplacements ne sont pas dénuées d’ambivalences. Elles ne chercheraient pas tant à freiner globalement le système automobile qu’à déplacer la voiture en la canalisant sur des infrastructures routières de contournement. Autrement dit, si les politiques contemporaines en faveur de la mobilité durable aboutissent bel et bien à limiter les nuisances automobiles sur certains territoires urbains stratégiques et symboliques de la « ville où il fait bon vivre », elles continuent simultanément d’améliorer l’accessibilité automobile à l’échelle de la « métropole des flux » et d’alimenter la mobilité généralisée nécessaire à la croissance de nos sociétés capitalistes contemporaines. - Démocratie /Publications FEP
Note de la FEP #14 - L'impasse des smart cities
Par François JARRIGE
La « ville intelligente », traduction française de l’anglais « smart city », a désormais totalement envahi le langage des autorités métropolitaines, remodelé les choix politiques comme les visions de la ville du futur. Derrière cette ville dite « intelligente », il y a d’abord l’obsession pour les réseaux numériques censés permettre une optimisation des ressources comme des flux d’information et de matière. L’expression désigne en effet une ville qui développe les technologies de l’information et de la communication (TIC) pour « améliorer » la qualité des services urbains ou réduire ses coûts.
Comme l’explique un rapport officiel rédigé par un élu ardent promoteur de la « république numérique », « il s’agit de construire une ville collaborative, contributive, disruptive, inclusive, créative »1. La « ville intelligente », désormais omniprésente dans la presse comme dans d’innombrables espaces de pouvoir, désigne un mode de développement urbain censé être plus résilient. Il s’agit d’affronter les immenses défis écologiques et sociaux en développant des outils de gestion des infrastructures communicantes afin d’étendre l’automatisation et ainsi améliorer la qualité de vie des citoyens, dans le respect de l’environnement. Censés offrir des réponses technologiques et numériques aux défis environnementaux du présent, la smart city devient peu à peu une grande idéologie, promue par d’innombrables experts et publicitaires, soutenue par les grands groupes industriels et les pouvoirs publics, vantés dans les médias et – depuis 2010 – dans un grand évènement annuel appelé le « Smart City World Congress ».
Pourtant, au-delà des promesses sans cesse répétées, les réalisations semblent au contraire accélérer les dynamiques inégalitaires et anti-écologiques des métropoles futuristes. Surtout, avec la smart city, une nouvelle étape est franchie dans le brouillage du langage, dans la gestion automatisée de nos vies, et dans la relance du projet de modernisation productiviste de l’urbain. - Démocratie /Publications FEP
Note de la FEP #13 - De la métropolisation... au post-urbain
Par Guillaume FABUREL
Processus engagé depuis plusieurs décennies à l’échelle planétaire, la métropolisation est un des faits majeurs des mutations contemporaines, sociales et économiques, écologiques et politiques. Cette métropolisation affecte les grandes villes comme milieux et cadres de vie, et plus largement l’ensemble des territoires, qui sont dorénavant tous concernés par l’urbain. Cette note explicite une telle évolution, en livre les principales conséquences, et, sur cette base, s’ouvre aux ruptures possibles par l’écologie politique, pour alors envisager les conditions d’une société post-urbaine.
- Démocratie /Publications FEP
Note de la FEP #12 - Interdire les armes nucléaires
L’élimination des armes nucléaires fait partie des fondamentaux de la pensée écologiste. Les individus et mouvements qui s’en réclament ont participé à cette dynamique qui a permis d’arrêter les essais nucléaires, d’apporter reconnaissance aux victimes et aujourd’hui d’interdire ces armes de destruction massive…
- Démocratie /Blog
[Green European Journal] Nouveau numéro "2049: FUTUR OUVERT"
- Démocratie /Blog
[Vidéos] Colloque Démocratie environnementale
- Economie /Blog
[Green European Journal] Interroger la centralité du travail avec André Gorz
André Gorz, l’un des penseurs de l’écologie politique, doit également sa popularité à sa critique radicale du travail. Son exhortation, certes utopique, à « sortir du travail » nous offre l’occasion de réfléchir à ce que nous entendons par « travail » et à la place dominante que nous lui avons accordée.
- Nature /Publications FEP
[PARUTION-OUVRAGE] Penser l'Anthropocène
- Démocratie /Blog
3 questions sur l’écocide avec Valérie Cabanes